Un intitulé sibyllin, trois lettres échappées sur un relevé bancaire, et la certitude d’un mystère : le « Prélèvement ASP » s’invite parfois sans prévenir, laissant derrière lui un parfum d’énigme. Ce débit n’a rien d’un caprice de carte bleue, ni d’une facture familière. Il intrigue, déroute, s’impose sans crier gare, et interroge autant qu’il déstabilise.
Derrière cet acronyme discret …